Poème à ma banquière
De grâce !
Je ne puis plus poser un chèque dans vos mains
Quand j’aimerais y déposer mon cœur
A nul autre pareil, votre sourire cristallin
Me fait rêver à la belle âme sœur
Pourquoi cette banque nous emprisonne ?
Au vent les colombes s’abandonnent
Dans ces murs austères, je me meurs
J’ai besoin de vous voir à l’extérieur…
Si vous n’êtes pas sensible à la poésie
J’espère que vous le serez à ma folie
Voyons nous, parlons, j’aime rire
Nous avons tant de choses à nous dire
A bas les chiffres et les agios
Quand les sentiments coulent à flot !
Votre client le plus dévoué
Amoureux de votre beauté
Ps : Il me faudrait pour mon découvert un petit délai supplémentaire.